Chères lectrices, chers lecteurs,

Nous vous retrouvons avec joie dans notre lettre d’information mensuelle. Soyez les bienvenus chez nous ! 🙂

Voici la fin de l’été qui s’amorce et, à la surprise générale, les température repartent à la hausse, semblant suivre la courbe ascendante de la frénésie des rues parisiennes !
Pour Hartpon voici donc l’heure de reprendre notre travail d’abeilles – si les abeilles faisaient des livres… L’activité ne s’est pas totalement arrêtée pour nous dans le courant de l’été, et c’est ainsi que nous avons de fraîches nouvelles à déposer dans votre boîte aux lettres !

Alors, à quoi peut-on s’attendre en ce mois de septembre 2021 ?!

• Les choses se précisent sur le front de notre collaboration avec la Galerie Olivier Waltman ! Le catalogue du peintre Francois Bard, intitulé Dans l’ombre de l’autre, quitte actuellement les entrepôts de notre imprimeur favori, pour être lancé le 18 septembre prochain lors vernissage de l’exposition éponyme ! Pendant ce temps, c’est le catalogue de Jérôme Borel, intitulé La Chambre d’Écho et dont l’exposition suivra en octobre prochain, qui a pris à son tour le chemin des presses vendredi dernier. Deux catalogues, donc, ou le lancement d’une collection, à laquelle nous souhaitons un bel avenir !!

• Également, ce mois de septembre est l’occasion de lancer la souscription de Luminescences, le premier livre de Lucie Pastureau ! À vos écrans digitaux sans plus attendre pour découvrir tous les secrets de cette nouvelle publication (imprimée bien sûr, et magnifique 😍), et pré-commander votre exemplaire si le cœur vous en dit 🙂

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Ainsi, élancés sur le chemin de la rentrée des classes, nous vous laissons à vos occupations – en vous invitant néanmoins à prêter une oreille à notre podcast du mois ! À la rencontre d’une personnalité rare.

Michael Woolworth est imprimeur et éditeur, maître d’art, et c’est une véritable sommité ! Il est à l’origine de l’Atelier Michael Woolworth, qui officie depuis 1985 à Paris pour promouvoir aux côtés de nombreux artistes des techniques manuelles d’impression. Si nous avons eu l’envie de le questionner sur son métier, c’est que le processus créatif qu’il propose, en se réalisant dans l’effort et dans le temps, est à contrecourant du flux d’images toujours plus dense auquel, aujourd’hui, nous nous habituons malgré nous.

À François Bard et Jérôme Borel, à Michael Woolworth,
& à tous les peintres et créateurs qui comme eux ont pour
horizon une surface blanche en puissance.

Caroline & Marine,
pour les Éditions Hartpon

 

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